Florence Pernel Taille Poids – Actrice française, Florence Pernel est née le 30 juin 1966 à Paris. Florence est devenue mannequin après avoir suivi la carrière de sa mère. Cela signifie que vous pouvez le trouver dans des endroits comme le catalogue des 3 Suisses ou les publicités de yaourt Danone. Très tôt dans sa carrière d’humoriste, elle apparaît dans le téléfilm Plein Soleil en 1973 puis fait quelques apparitions au cinéma.
Elle se retire peu à peu du centre des projecteurs et développe autour d’elle un air de colporteur. Après avoir renoué avec son ancienne collègue Dominique Besnehard, aujourd’hui agent chez Artmedia, elle revient à la fois à la télévision et au cinéma. Le cinéaste polonais Krzysztof Kieslowski l’a choisie pour les seconds rôles de “Trois Couleurs : Bleu” en 1992 et de “Trois Couleurs : Blanc” en 1993.
Depuis 2005, elle est mariée au cinéaste Patrick Rotman. Ils forment un couple heureux avec deux enfants merveilleux : Paul et Tina. Cette actrice est tellement belle et talentueuse que j’ai hâte de la voir dans un grand film où elle jouera le rôle d’un auteur célèbre comme Camille Claudel ou d’un autre écrivain célèbre.
Vers sept heures chaque matin, je me réveille pour que ma famille et moi puissions prendre ensemble un copieux petit-déjeuner. Ensuite, j’enfile mes MBT (chaussures de sport à semelle inversée) et marche d’un bon pas pendant une heure avec mon iPod dans les oreilles. Je suis un mangeur de viande radioactif, c’est moi.
Je ne rate jamais un épisode de la chronique de politique internationale de Bernard Guetta sur France Inter car je me sens éduquée et informée malgré la complexité des sujets abordés. Après, j’alterne entre Europe 1 et France Inter en fonction des invités, et je veille jusqu’à l’émission d’Isabelle Giordano car elle parle avec créativité du quotidien.
La façon dont j’occupe mon temps au quotidien change d’un tournage à l’autre. C’est un pur hasard qui a fait de moi un comédien. J’ai décroché un rôle principal dans un téléfilm alors que je n’avais que 10 ans. Rapidement, j’ai connu un élan d’indépendance.
Ma mère, ancienne mannequin, m’a toujours encouragée à prendre des photos. Malheureusement, mes gros jouets et mes deux fossettes m’ont fait atterrir dans un certain nombre de publicités et d’émissions de télévision. Après avoir terminé mon premier long métrage, « Que les gros salaires lèvent le doigt ! », j’ai décidé d’arrêter. J’avais l’impression de n’avoir fait aucun choix et d’avoir été jeté dans cette situation. Il y avait un décalage entre ce que je ressentais et où je devais être.
C’est pourquoi je me suis transformé en brocante, en commençant par la vente de mes propres biens. J’ai ressenti le besoin de me réorienter vers le sens psychologique et technique du terme.
À ce jour, la chasse au trésor est encore un passe-temps pour de nombreuses personnes. Puis par hasard une fois de plus, je me suis retrouvé dans le monde de la comédie. J’ai rencontré Dominique Besnehard, et elle m’a envoyé à un casting où j’ai finalement eu le rôle. En fin de compte, personne ne peut échapper à son destin.
Dans la plupart des cas, je n’ai pas du tout envie de pleurer. Pour la raison que ma faim frappe à des heures indues. En ce moment je pratique les répliques avec Juliette Coulon, qui m’a donné des cours de comédie pour le rôle de Cécilia Sarkozy.
Depuis la fin du film, mon équipe et moi avons écrit avec diligence mes projets à venir jusqu’au début de l’après-midi. Je me souviens très bien du jour où Xavier Durringer m’a proposé le rôle : je tournais à Lyon, et je suivais ce projet depuis un moment car mon mari, Patrick Rotman, avait eu l’idée et écrit le scénario.
Cela peut sembler étrange, mais lorsque Xavier a fait la demande en mariage, j’ai été surpris car je ne ressemble en rien à Cécilia. Bien sûr, j’ai crié à pleins poumons d’excitation et de joie ! Ensuite, j’ai fait une approche mille-feuille, en lisant toutes ses biographies et en tombant sur un “Envoyé spécial” de 2002 qui m’a beaucoup aidé avec mon langage corporel, mes vocalisations et ma mise en scène.
J’ai essayé d’être authentique plutôt qu’une copie. La sélection du festival à Cannes était la cerise sur le gâteau d’une production fantastique. Mais revenons à l’essentiel : un de mes endroits préférés à Paris reste le rayon bricolage au sous-sol du BHV. Je le connais très bien. Une partie de mon cerveau réclame parfois un étau électrique ou une paire de cisailles électriques.
Mon fils (12 ans) et ma fille (10 ans), qui ont tous deux des devoirs et des tests de goût à faire, rentrent à la maison vers 17 heures. A dix-huit heures, je rêve de déguster un camembert trempé dans une belle bouteille de bordeaux.
Ma détermination à résister à la tentation est renforcée par la fréquentation régulière des cours de gym de Marie-Laure de Crozefon, plus par envie de m’imprégner de la sérénité qui émane d’elle que par envie de sculpter mes abdos. Nous organisons de nombreux dîners chez nous le week-end, mais pendant la semaine, nous avons tendance à sortir plus souvent au restaurant.
Je pense avoir vu tout ce qui s’est produit sur scène cette saison, “Au moment de la nuit” de Nicolas Briançon étant la dernière chose que j’ai vue. Nous mangeons tard et fréquentons fréquemment La Rotonde, un restaurant que j’apprécie beaucoup. Je vais aller de l’avant et signer en supposant que ce soir va être trop court et promettre que je ferai un effort pour être plus raisonnable le matin.
Plus de vingt-cinq longs métrages, six courts métrages, quatre pièces de théâtre, vingt-trois programmes télévisés et deux nominations aux Molière. La réussite professionnelle de Florence Pernel est quelque chose à laquelle aspirer. Pourtant, étrangement, lorsque l’actrice incarnant Cécilia Sarkozy dans “La Conquête” foule le tapis rouge du Festival de Cannes 2011, le public semble la découvrir pour la première fois.
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